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Dossier : Traitement du cancer du rein
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L’incidence du cancer du rein localisé et de petite taille est en permanente augmentation depuis plusieurs décennies. Cela s’explique en partie par l’essor de l’imagerie médicale puisque plus des deux tiers des cancers du rein sont découverts fortuitement au cours d’un examen d’imagerie réalisé pour une autre raison.1, 2 Le traitement de référence de ces petites tumeurs rénales de stade T1a (< 4 cm) est la chirurgie lorsqu’elle est possible. Le nombre de petites tumeurs traitées par néphrectomie élargie est en nette diminution, au profit de la néphrectomie partielle et des ablations percutanées.3 Cependant, la néphrectomie partielle n’est pas dénuée de complications et reste complexe pour certaines tumeurs, en particulier les tumeurs centrales. Les techniques ablatives percutanées sont une option thérapeutique intéressante chez les patients qui ne sont pas de bons candidats à la chirurgie : lésions difficilement extirpables, patients les plus fragiles. Elles ont pour objectif de traiter les patients en diminuant la morbidité liée à une chirurgie conventionnelle. Elles consistent en la destruction du tissu tumoral in situ soit par échauffement (radiofréquence ou micro-ondes), soit par refroidissement tissulaire (cryoablation). Une des limites de ces traitements ablatifs par le chaud est leur caractère douloureux, nécessitant leur réalisation sous sédation consciente, voire sous anesthésie générale. La cryoablation percutanée permet, en revanche, de traiter les patients avec une anesthésie locale exclusive.
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