Rappel du premier message :
Cette année vous serez plus de 8000 étudiants à passer les premières ECN informatisées sur tablette. Légitimement, la question que vous vous posez tous concerne la préparation de ces nouvelles épreuves (18 dossiers progressifs, 120 questions isolées et 2 articles de LCA).
Alors que faire ?
– Ne pas stresser : la forme change mais le fond reste le même. Les notions à maîtriser sont donc (à quelques items près) parfaitement identiques à celles des anciennes ECN.
– S’entraîner quotidiennement : aucune excuse, vous avez probablement tous des portables qui vous permettent de faire des questions isolées/regarder des iconographies/répondre à des dossiers progressifs quand vous êtes dans le métro, en stage, à la BU… L’idée est de se familiariser avec ce mode de questions/réponses. La difficulté supplémentaire de ces iECN c’est qu’elle ne favorise pas forcément les « meilleurs ». En effet, avec un peu de logique et en répondant par élimination, un étudiant qui a des connaissances moyennes va pouvoir s’en sortir. Pour faire la différence, il va donc falloir maîtriser le cours sur le bout des doigts !
– Préparer vos confs : essayer de tenir le programme prévu. L’objectif étant de passer plusieurs fois sur les items du programme en particulier les indispensables de chaque UE (« les ultra-tombables ») : essayer de revoir/apprendre les items sur lesquels va porter la conférence quelques jours avant (idéalement 10 jours) pour faire travailler votre mémoire à court et moyen terme. Car réviser la veille et réussir le lendemain est une satisfaction toute relative car le jour J vous tomberez sûrement sur un item que vous aurez réviser 10 jours avant alors il faut se forcer à s’entraîner de cette manière.
– Plusieurs acteurs se sont spécialisés dans la préparation des iECN : vous les connaissez tous, ils ont évidemment chacun leurs points forts, leurs inconvénients mais dans tous les cas tout entraînement est bon à prendre alors n’hésitez pas, faites tous les concours blancs gratuits qu’ils proposent !
Pour en citer quelques uns : conf plus, prep-ecn, S-ECN, ECNi, conf raphaël…
Par ailleurs, ne négligez pas les ouvrages « papiers » pour vous entraîner à répondre aux questions isolées. Et dans tous les cas, lorsque vous êtes à la BU, continuez à faire des dossiers cliniques (ancienne version) ne serait-ce que pour fixer les idées et vous rendre compte des lacunes que vous avez dans telle ou telle spécialité car n’oubliez pas que les PU qui rédigent les dossiers progressifs sont les mêmes que ceux qui faisaient les cas cliniques des anciennes ECN…
durant l’épreuve:
Préparation des i ECN : comment s’y prendre ?
conseilles réussir ECNCette année vous serez plus de 8000 étudiants à passer les premières ECN informatisées sur tablette. Légitimement, la question que vous vous posez tous concerne la préparation de ces nouvelles épreuves (18 dossiers progressifs, 120 questions isolées et 2 articles de LCA).
Alors que faire ?
– Ne pas stresser : la forme change mais le fond reste le même. Les notions à maîtriser sont donc (à quelques items près) parfaitement identiques à celles des anciennes ECN.
– S’entraîner quotidiennement : aucune excuse, vous avez probablement tous des portables qui vous permettent de faire des questions isolées/regarder des iconographies/répondre à des dossiers progressifs quand vous êtes dans le métro, en stage, à la BU… L’idée est de se familiariser avec ce mode de questions/réponses. La difficulté supplémentaire de ces iECN c’est qu’elle ne favorise pas forcément les « meilleurs ». En effet, avec un peu de logique et en répondant par élimination, un étudiant qui a des connaissances moyennes va pouvoir s’en sortir. Pour faire la différence, il va donc falloir maîtriser le cours sur le bout des doigts !
– Préparer vos confs : essayer de tenir le programme prévu. L’objectif étant de passer plusieurs fois sur les items du programme en particulier les indispensables de chaque UE (« les ultra-tombables ») : essayer de revoir/apprendre les items sur lesquels va porter la conférence quelques jours avant (idéalement 10 jours) pour faire travailler votre mémoire à court et moyen terme. Car réviser la veille et réussir le lendemain est une satisfaction toute relative car le jour J vous tomberez sûrement sur un item que vous aurez réviser 10 jours avant alors il faut se forcer à s’entraîner de cette manière.
– Plusieurs acteurs se sont spécialisés dans la préparation des iECN : vous les connaissez tous, ils ont évidemment chacun leurs points forts, leurs inconvénients mais dans tous les cas tout entraînement est bon à prendre alors n’hésitez pas, faites tous les concours blancs gratuits qu’ils proposent !
Pour en citer quelques uns : conf plus, prep-ecn, S-ECN, ECNi, conf raphaël…
Par ailleurs, ne négligez pas les ouvrages « papiers » pour vous entraîner à répondre aux questions isolées. Et dans tous les cas, lorsque vous êtes à la BU, continuez à faire des dossiers cliniques (ancienne version) ne serait-ce que pour fixer les idées et vous rendre compte des lacunes que vous avez dans telle ou telle spécialité car n’oubliez pas que les PU qui rédigent les dossiers progressifs sont les mêmes que ceux qui faisaient les cas cliniques des anciennes ECN…
durant l’épreuve:
- Lire attentivement tout le dossier et repérer les pièges, cherchez à quelle question ils se rapportent.
- Eviter les grosses " conneries " car même s’il n’y a pas toujours de points négatifs, le correcteur trouvera un moyen de sanctionner en ne comptant pas certains autres items ou sur les points " de gueule ". Il ne risque pas vraiment la recorrection car il a la possibilité de se mettre d’accord avec son binôme de correction et de toute façon ce dernier lira aussi la " grosse connerie "
- Lire attentivement la question et y répondre strictement : de nombreuses copies donnaient réponse à la question suivante. C’est une perte de temps, n’apporte pas de point et en fait même perdre quand on n’a plus assez de temps pour réécrire cette réponse à la question suivante.
- Répondre à la question et uniquement à la question : si aucune justification n’est demandée, la grille ne comportera pas de justification.
- Sur une question de bilan, éviter de lister des tonnes d’examen inutiles : même si les points négatifs sont rares, le correcteur qui ne voit pas l’intérêt de débourser des milliers d’euros peut très bien s’arranger pour ne pas vous compter certains des examens utiles que vous avez pourtant cités.
- Les réponses qui paraîssent simplissime (arrêt du tabac) doivent être mises et absolument pas oubliées : elles ont fait la différence de certains dossiers cette année.
- Profiter qu’il n’y a pas de cadre de lecture pour écrire grand, souligner de la même couleur les mots clés, structurer sa réponse, en ne noyant pas les mots clés dans un flot de texte (énerve le correcteur qui risque de ne pas voir certains mots clés)
- Importance des notions de santé publique, d’éducation du patient, de surveillance, de médecine légale, etc...
- Les grilles de correction peuvent être très simples : exemple du dossier sur le myélome, corrigé par 4 hématologues qui ne connaissent pas la classification de Garden ! ou très complexes, comme le dossier d’ophtalmo pour lequel les ophtalmo membres du jury ont été particulièrement pointilleux sur la grille de correction. Le barème est fait pour discriminer au maximum : dans le dossier de néphro, l’amylose valait certes des points mais la précision AL en valait bien plus !
- Les grilles de correction ne sont pas connues en dehors des correcteurs : les correction types qui circulent ne sont pas les officielles ! Le CNCI interdit toute divulgation de celles-ci.
Bon courage ..........- Eviter les grosses " conneries " car même s’il n’y a pas toujours de points négatifs, le correcteur trouvera un moyen de sanctionner en ne comptant pas certains autres items ou sur les points " de gueule ". Il ne risque pas vraiment la recorrection car il a la possibilité de se mettre d’accord avec son binôme de correction et de toute façon ce dernier lira aussi la " grosse connerie "
- Lire attentivement la question et y répondre strictement : de nombreuses copies donnaient réponse à la question suivante. C’est une perte de temps, n’apporte pas de point et en fait même perdre quand on n’a plus assez de temps pour réécrire cette réponse à la question suivante.
- Répondre à la question et uniquement à la question : si aucune justification n’est demandée, la grille ne comportera pas de justification.
- Sur une question de bilan, éviter de lister des tonnes d’examen inutiles : même si les points négatifs sont rares, le correcteur qui ne voit pas l’intérêt de débourser des milliers d’euros peut très bien s’arranger pour ne pas vous compter certains des examens utiles que vous avez pourtant cités.
- Les réponses qui paraîssent simplissime (arrêt du tabac) doivent être mises et absolument pas oubliées : elles ont fait la différence de certains dossiers cette année.
- Profiter qu’il n’y a pas de cadre de lecture pour écrire grand, souligner de la même couleur les mots clés, structurer sa réponse, en ne noyant pas les mots clés dans un flot de texte (énerve le correcteur qui risque de ne pas voir certains mots clés)
- Importance des notions de santé publique, d’éducation du patient, de surveillance, de médecine légale, etc...
- Les grilles de correction peuvent être très simples : exemple du dossier sur le myélome, corrigé par 4 hématologues qui ne connaissent pas la classification de Garden ! ou très complexes, comme le dossier d’ophtalmo pour lequel les ophtalmo membres du jury ont été particulièrement pointilleux sur la grille de correction. Le barème est fait pour discriminer au maximum : dans le dossier de néphro, l’amylose valait certes des points mais la précision AL en valait bien plus !
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